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Un voyage chorégraphique entre orient et occident...
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      PROPOS CHORÉGRAPHIQUE Intrigué par son reflet dans un miroir, un homme se retrouve projeté dans un univers dans lequel il est confronté aux profondeurs de son propre esprit : un lieu de passage entre rêve et réalité, entre surface et profondeur, entre occident et orient… Il erre dans cet univers où racines et origines, jusqu’alors enfouies dans son quotidien plastique, refont surface. Il se retrouve face à face avec un autre… lui-même : celui qui n’a jamais oublié sa langue, jamais renié ses croyances, celui qui assume son histoire et celle de ses ancêtres, enfin celui qui sait à quel point « la terre est lourde ». Cet autre moi s’incarne en une mystérieuse fée dansante, qui va venir perturber son quotidien plastique et remettre en question l’identité de celui dont le miroir tend à révéler le nom. Sur fond de musique hip-hop et orientale, la chorégraphie se veut la recherche d’une gestuelle qui mêle avec subtilité deux styles de danse très « différents, mais pourtant si proches » … tout comme le blanc et le noir s’opposent, se complètent, s’attirent… quand le miroir fait tomber les masques… 
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      Chorégraphe : Mehdi Slimani Interprètes : Nuria Rovira Salat et Mehdi Slimani Arrangement Musical : M.Dee Mise en lumière : Jacques Rouveyrollis Régisseur lumière : Damien Bardot Création peintures : Fabienne Baud 
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      — MENTIONS LÉGALES Coproduction : Centre National de la Danse, Canal 93, Centre de Danse du Galion, Initiatives d’artistes en danses urbaines Résidence : Centre National de la Danse, Canal 93, Centre de Danse du Galion, Initiatives d’artistes en danses urbaines Crédit photo : 
 Marine Lebrun
 Roger Fusciardi
 
        
        
      
    
    « Se retrouver face à face avec soi-même, c’est l’idée de ce miroir qui provoque un voyage aux profondeurs du soi, et par là-même au bout du monde. L’étranger, c’est parfois celui qui rôde en notre for intérieur, plus que celui venu des terres exotiques, en qui on devine soudain un alter ego. Si différents mais pourtant si proches, sous les peaux un sang si rouge, si rouge »
 
              
              
             
              
              
             
              
              
             
              
              
             
              
              
             
              
              
            